La robe du jour

Technique mixte sur toile 50×100 cm

Mars 2013

Disponible (seule ou en duo avec « Solaris »)

 

La robe du jour, Diane Rousseau, portrait, femme, acrylique, huile, peinture, cosmique, art visionnaire, art contemporaine, peintre fontainebleau

Ce tableau a été réalisé sur un châssis 3D. Dans sa robe nuageuse, voici la maman du soleil. Vous noterez la diagonale ascendante gauche-droite qui conduit le regard vers ce que fixe ma muse… Et qu’est-ce qu’une maman peut bien couver du regard avec autant d’attention sinon son enfant ?

La robe du jour (détail), Diane Rousseau

Les quatre toiles réunies en polyptyque astral

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8 Commentaires

  1. elle est trop belle!

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  2. Cette série des robes de Peau d’Âne est très sympa. En même temps, je trouve que cette robe du jour me fait beaucoup penser à une robe d’eau.
    C’est peut-être l’envie de piscine …

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    • Au départ j’ai eu un flash sur une expression : « Le manteau de la nuit ». Je n’avais que ce titre en tête et c’est à partir de lui que j’ai imaginé le visuel. Je suis restée dans l’idée de vêtement pour « La robe du jour » et c’est en cours de travail que je me suis souvenue du film « Peau d’âne » (avec Catherine Deneuve et Jean Marais). 😉

      Je ne suis pas très « piscine » ni bords de mer mai je comprends ce que tu veux dire. 😉

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  3. C’est un ciel dans la piscine 😉

    Diane, juste un détail qui me titille… Est-ce que tu fais ton trait noir après (sur) la couleur du personnage ? Le danger du trait noir c’est qu’il souligne aussi les défauts de contours… Je ne sais pas si c’est lié à la photo mais, par exemple ici, on a l’impression que le visage est un peu « mangé » par ce trait…

    En fait (et ce n’est pas une critique mais une constatation), tes personnages (celui-ci en tous cas) me font penser à des photographies découpées dans des magasines et collées en photo-montage.
    C’est amusant car je n’avais jamais réfléchi à ton travail en ces termes et pourtant c’est vident, il utilise les effets du collage sans en être…
    Le fond bleu aussi rappelle le papier déchiré (de loin)…

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    • Je fais le contour après. Il y a en effet potentiel danger car le contour met en valeur alors que le flouté cache les imperfections. Cela fait parti dès règles du jeu. 😉 Dans ce que je fais je me force à avoir un parti pris donc si j’aime le contour (et je l’aime !) je me dois de le faire accentué sinon il n’aurait pas de sens et m’éloignerait de mon style « vitrail ».

      On m’a déjà demandé si je découpais dans les magazines ! ^^ Je dois avouer que le fait qu’on puisse le croire m’attire particulièrement. J’aime que mon travail interpelle. Tu as bien cerné mon petit jeu, Cocco : dans ce monde d’illusions j’aime à donner l’illusion du collage quand il n’y en a pas et insérer des collages invisibles. C’est un peu cela aussi la magie de l’art. 😉

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      • Oui, moi aussi je suis friande de ce genre de magie ! 😉

        D’ailleurs c’est qui ma plaît dans la peinture matière, car l’illusion est tangible ou susceptible de l’être contrairement à la peinture virtuelle qui n’est au final qu’un amas de petits carrés de couleurs…

        Je ne sais pas si cela t’arrive mais parfois, je ne sais même plus avec quoi et comment j’ai obtenu tels effets en peinture, alors je me dis que le tour est réussi et que cela devient magique pour moi aussi ! C’est un peu comme une recette unique de cuisine qu’on aurait oublié. Cela pourrait être frustrant mais moi, cela m’amuse ! 🙂

        Ici nous n’avons qu’un aperçu virtuel d’œuvres de matière (ce qu’on oublie trop vite !) et de ce fait nous sommes des handicapés derrière nos écrans ! C’est pourquoi je réagis parfois à contre-temps…

        C’est vrai que ta peinture joue beaucoup avec le trompe-l’œil, mais pas de façon habituelle. Elle nous questionne justement sur notre approche conventionnelle et sur l’apparence classique de ton travail…

        Le contour noir, il faudrait être aveugle pour ne pas voir la farouche intention de l’imposer comme élément incontournable du tableau ! 😉
        Que le trait soit accentué ne me gêne pas.

        La façon dont tu as répondu à ma question me fait penser néanmoins que quelque chose t’échappe en lui, dans la nécessité de sa présence… Quelque chose qui me manque aussi pour bien le comprendre…

        Tu fais allusion au vitrail… Pour la méthode en plomb, le « trait » (l’armature donc) existe avant la couleur (le contenu) car c’est le dessin du contour qui crée la forme et non l’inverse. Le plomb est le dessin.

        Je ne dirais pas que ton trait noir est le dessin comme il peut l’être pour un trait de BD traditionnelle (les noirs et la colorisation…), il est le contour de la forme. Qu’est-ce que cela implique ? Je ne sais pas. Personnellement cela me donne envie de re-dessiner la forme, la silhouette plus exactement, par un autre trait intérieur, et en particulier les endroits qui semblent avoir été « mangés » par ce trait noir, sans pour autant remettre en question sa densité…

        En peinture numérique il y a des effets qui permettent d’ajouter un trait de contour à une forme, qu’elle soit complexe ou non. Trois choix s’offrent à nous:
        – contour extérieur
        – contour intérieur
        – contour centre (à cheval)

        On ne sait pas toujours où se situe ton trait et cela devient un problème à partir du moment où il nuit à la forme par endroits…

        Je te livre mes réflexions, telles qu’elles. A toi de voir s’il y a quelque chose à en tirer (pas sûr ! ) 😉

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  4. Juste magnifique… Ce bleu ravit les yeux et la posture est très douce.

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    • Merci Lisa. Ce bleu est la couleur avec laquelle je suis le plus à l’aise. 😉

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